Cette peine est assortie d’une interdiction de voyager de deux ans et d’adhésion à tout groupe politique ou social, a précisé son avocat.
Rappelons que Jafar Panahi, figure de la nouvelle vague du cinéma iranien multiprimée internationalement, avait pu faire le déplacement, au festival de Cannes en mai dernier, pour la première fois en quinze ans. Tout le monde craignait, à son retour à Téhéran, après avoir reçu la Palme d’or, des représailles. Aucune réaction à l’aéroport où il avait été acclamé par des admirateurs ni après ..
mais voilà .. ajourd’hui la sentence tombe alors que le cinéaste se trouve hors d’Iran pour la promotion de son film " Un simple accident" choisi pour représenter la France aux Oscars.
France Soubeyran