Gérard Lanvin, Olivier Marchal, Vincent Moscato
Il est évident qu’à force de détourner les ingrédients du cinéma populaire de qualité (un bonne histoire, de bons acteurs, de la spontanéité et de la sincérité) ...
... au profit d’une écriture hypercholestérolisée, d’une maladresse sans pause de mise en scène, de dégoulinantes intentions sentimentales, d’acteurs qui ont décidé de laisser en coulisses tout soupçon de finesse et d’un scénario (*) aussi ringard que criblé de clichés ….
« Le fils à Jo » n’est pas celui … des Frères Lumière. (mca)
(*) pm - le père de Tom souhaite que son fils devienne, comme le veut la coutume familiale, rugbyman. Trop buté ( trop abruti - ce qui ne plaide pas en faveur du sport-ouvreur-de-neurones ) pour comprendre que les points, son fiston préfère les marquer en classe que sur le terrain.