octobre 2005

  • Georges (Daniel Auteuil) est journaliste littéraire, son épouse Anne (Juliette Binoche) travaille dans le monde de l’édition. Ils habitent, avec leur fils adolescent, une maison dans une rue tranquille à Paris. Leur vie, jusque là apparemment (…) > Lire la suite ...
  • Ce qui pousse à aller voir un film est chose bizarre. Quand le film « Les parrains » est sorti sur nos écrans, je venais de terminer un livre, dans cette petite collection bien faite et pas cher (Librio 2 €) consacré aux derniers mots des (…) > Lire la suite ...
  • Il était une fois…des cadavres joyeux . Des cadavres qui sont sexy, qui aiment faire des claquettes, jouer du jazz, boire, s’adonner aux jeux de mots et autres calembredaines. Des cadavres qui aiment vivre et vivent plus intensément que la (…) > Lire la suite ...
  • Le cinéma rend possible tous les métissages même les plus saugrenus. Il y a quelques années il nous a permis de faire connaissance avec un cochon de berger (« Babe » de Chris Noonan adapté du livre de Dick King-Smith), aujourd’hui c’est un lapin (…) > Lire la suite ...
  • Dickens est un scénariste magnifique . Les réalisateurs, David Lean en tête, le savent depuis longtemps. L’histoire d’Oliver, même si elle originairement ancrée dans la société victorienne anglaise, n’a rien perdu de son actualité : comment, (…) > Lire la suite ...
  • Dès la première image, le spectateur est happé par deux taches d’un bleu intense qui à la fois l’éblouissent et le questionnent. La caméra prenant du champ donne forme à ces taches et nous emmène dan la somptuosité de l’Ouest américain, là où (…) > Lire la suite ...
  • L’homéostasie d’un ensemble dépend-elle de l’équilibre de chacune de ses parties ou au contraire tient-elle à la richesse différente de ses composantes. Les plus denses compensant les plus faibles. Cette question n’est pas que métaphysique, (…) > Lire la suite ...
  • Je l’avoue, j’ai un faible pour les films aux dialogues bien écrits. J’y trouve une sorte de volupté pour l’esprit. C’est dire qu’avec le phrasé de Jane Austen je suis (presque) au Paradis. Monsieur et Madame Bennet ont 5 filles à marier et (…) > Lire la suite ...
  • Ils étaient deux (Jacob et Wilhelm) et ils ont enchanté mon enfance. Allais-je retrouver sur pellicule le charme, la fantaisie et la délicieuse peur qui saisissent ceux qui lisent, pour la première , " Häensel et Gretel " ou " Les nains (…) > Lire la suite ...
  • Ce film est à la fois protocolaire et infiniment triste. Il parle du manque affectif et physique chez un couple tellement à l’abri du besoin matériel qu’il en a perdu toute notion de désir. Lui, Jean est un grand bourgeois du début du XXe (…) > Lire la suite ...
  • Une grande ville à quelques jours de Noël. Une autoroute. Un accident. Des cris et des gens. Focus sur certains de ceux-ci et plongée dans leur passé immédiat. Y a-t-il quelque chose qui les unit à part leur humaine fraternité à la fois (…) > Lire la suite ...
  • Film 100.000 volts. Ca c’est sûr. Mais raccordé à quel courant ? Celui du film de série B, façon polar ? Celui du film absurde et parodique ? Celui du film ludique et discrètement critique d’une certaine « Hollywood way of life » ? En tout cas (…) > Lire la suite ...