janvier 2007

  • « Daratt » ou la beauté d’une âme, celle d’un jeune garçon, Atim, qui se voit remettre une arme par son grand-père pour tuer l’assassin de son père et qui décide de ne pas entrer dans la spirale sans fin de la vengeance. 2006 à N’Djamena, le (…) > Lire la suite ...
  • « La vie des autres » se trouve au confluent de deux courants majeurs du 7ème art actuel. Il défend la nouvelle alliance cinéma et politique qui constitue, depuis quelques années, (*) une riche alternative à la fonction divertissante du grand (…) > Lire la suite ...
  • Alors, Picha. Gaga (avec un « c » ça marche aussi) ou dada ? Trash ou clash. A vous de voir. 30 ans après « Tarzoon, la honte de la jungle », le dessinateur belge revient au cinéma. Toujours taraudé par l’esprit Hara-Kiri et plus potache que (…) > Lire la suite ...
  • Se découvrir artiste passe-t-il nécessairement par la médiation d’un tiers ? Ce thème intéressant, qui constituait déjà le cœur du film « Fur » dans lequel on assistait à la naissance à son art d’une des plus grandes photographes du XXe siècle (…) > Lire la suite ...
  • S’il est vrai que la fiction peut en apprendre autant sur une réalité qu’un documentaire, encore faut-il que cette fiction soit portée par un scénario vraisemblable et jouée avec un minimum de crédibilité. Autant « Das leben der anderen » de (…) > Lire la suite ...
  • Elle était attendue la première adaptation cinématographique d’un polar de Fred Vargas. Cette archéologue, spécialiste du Moyen Age, est en effet devenue en quelques années l’une des valeurs incontournables du roman policier français parce (…) > Lire la suite ...
  • Juin 1968. Los Angeles. Hôtel Ambassador. Quelques heures avant l’assassinat de Robert Kennedy. « Bobby » pour tous ceux, et ils étaient nombreux, qui l’aimaient et le soutenaient dans sa campagne pour l’investiture à la présidence des (…) > Lire la suite ...
  • « La comédie humaine » et ses « Illusions perdues » dans le petit monde de l’édition parisienne. Plus balzacien que stendahlien, quoiqu’il porte le prénom de Julien (« Le rouge et le noir »), le héros des « Ambitieux » est un librairie-écrivain (…) > Lire la suite ...
  • Par quel hasard cette onomatopée « Ping-pong » est-elle devenue synonyme d’un jeu plutôt tranquille qui se pratique, à l’extérieur ou à l’intérieur, entre 2 ou 4 joueurs qui se renvoient une petite balle ronde qui peut faire mal lorsqu’elle est (…) > Lire la suite ...
  • Si le bizarre, l’incongru, le farfelu ne vous dérangent pas, vous aimerez ces « jardins » foutraques dans lesquels les hauts fonctionnaires font le poirier et où les guépards sont promenés en laisse. Si le loufoque, le décousu, l’insolite vous (…) > Lire la suite ...
  • Est-ce parce que leur rapport au réel est multiple, tantôt opaque tantôt transparent, que Cocteau les appelait « les hommes aux mille mains » ? Les magiciens, illusionnistes, et autres prestidigitateurs ont la côte depuis quelque temps. Harry (…) > Lire la suite ...
  • 92 minutes de tension sourde et crescendo entre une mère qui souhaite refaire sa vie et ses deux fils qui s’y opposent. La construction scénaristique et formelle de "Nue propriété" a la forme, implacable et claustrophile, d’un rectangle, dont 3 (…) > Lire la suite ...
  • Le propre d’une méthode est d’avoir des règles. Ou plus exactement ses règles. Celle de Descartes en a quatre qui ont pour but d’aider l’homme à bien conduire sa raison. Celle de Coué en a une qui sert à se convaincre, avec la litanie comme (…) > Lire la suite ...
  • Inutile de faire le Jacques. Si Jacquou vous intéresse (re) lisez le roman d’Eugène Le Roy ou louez l’intégrale de la sérié télévisée de Stellio Lorenzi (6 épisodes en 3 DVD) qui a fait les belles soirées de l’ORTF à la fin des années mil neuf (…) > Lire la suite ...
  • Le hasard et les coïncidences peuvent-elles transformer une existence ? Film serpentin, le film se déplie en 3 volets lovés autour d’un ombilic universel : le mystère de la paternité. Volet un : Michel habite Liège. Il est le fils d’Hervé, un (…) > Lire la suite ...
  • Du hors jeu sportif au hors jeu social, en Iran, la frontière est mincissime. Depuis 1979 (année de la chute du Shah) jusqu’à aujourd’hui, malgré un timide décret en sens contraire qui fut vite annulé, les femmes sont interdites de matchs de (…) > Lire la suite ...
  • Faut-il pour oser être soi-même avoir trouvé une réponse à la question de qui l’on vient ? Jeanne est une jeune femme élevée par une mère célibataire. Elle est à la fois comédienne, à la recherche de cette profondeur juste qui touche l’âme d’un (…) > Lire la suite ...
  • « Le prestige » est un film à tiroirs comme ces doubles fonds dans lesquels les magiciens font disparaître leurs partenaires en illusion avant de les faire réapparaître. Le tiroir le plus apparent est celui d’un affrontement (qui aurait gagné à (…) > Lire la suite ...
  • Des films comme « 3h10 pour Yuma » ou « Minuit dans le jardin du bien et du mal » présentent l’avantage insigne de cadrer un propos sur une ligne qui soit à la fois du temps et de l’espace, donnant ainsi, immédiatement, au spectateur des repères (…) > Lire la suite ...
  • Diane Arbus : 1923 - 1971. Soit 48 années de vie dont les 13 dernières ont été fondatrices d’un art consacré à la marge. « Fur » prend le parti pris - et c’est la bonne idée du film -de ne pas décrire ces années, mais de porter un regard (…) > Lire la suite ...
  • « Nouvelle chance » ressemble à ce conte chinois d’un fermier qui se lamente parce que son fils, suite à une chute, s’est cassé la jambe avant de se réjouir parce cette fracture lui permettra de ne pas le voir enrôlé dans une armée levée pour la (…) > Lire la suite ...
  • Il y a entre la jeune Betty, l’héroïne de « Je m’appelle Elisabeth » et Woody Allen un lien. Un de ces liens fondateurs des personnalités sensibles, imaginatives et anxieuses. Tous deux ont le même souci du devenir de l’univers et de ses fins (…) > Lire la suite ...