octobre 2007

  • Il est facile de dénoncer les horreurs de la guerre. Images-choc et discours édifiant à l’appui. Il est plus difficile d’en parler en faisant choix d’une voie minimaliste dont la force puise aux sources de la compassion et de la bonté. On (…) > Lire la suite ...
  • Encore une fois, et c’est tant mieux, le féminin est à l’honneur. Ce féminin patient, présent qui initie les petits à la vie, les seconde dans leur découverte du monde et les protège contre des dangers insoupçonnés. « Planet earth » est une ode (…) > Lire la suite ...
  • « Le deuxième souffle » ou l’éternelle dispute au sens médiéval de débat, entre le talent et le savoir-faire. En 1966, Jean-Pierre Melville adaptait le livre, écrit en 1958, par José Giovanni. Avec ce sens aigu de l’épure qui caractérise à la (…) > Lire la suite ...
  • Est-on jamais prêt pour Paranoid Park se demande Alex, le jeune héros de ce film à la violence sourde et rédemptrice ? Est-on jamais prêt pour l’inattendu de la vie se demande le spectateur hypnotisé par cette histoire qui, à partir d’une (…) > Lire la suite ...
  • Henri Salvador l’a chanté « Zorro est arrivé, sans se presser, le grand Zorro, le beau Zorro… » George Clooney l’a incarné « Clayton est arrivé, sans se presser, l’esprit en éveil et l’âme en quête de rachat... ». Michael Clayton travaille pour (…) > Lire la suite ...
  • Le cœur des hommes est à la mode. Dans les librairies et sur grand écran. Dans les librairies, le psychanalyste Serge Hefez, à partir des vignettes tirées de sa pratique, se demande (*) quelles sont les lignes de force et fragilités des « vires » (…) > Lire la suite ...
  • Ziggy Stardust, le personnage interstellaire imaginé par David Bowie au début des années 1970, a maintenant une petite sœur. Elle s’appelle Yvaine, elle est jeune, blonde et charmante. Elle vient du monde des étoiles dont elle une filante à la (…) > Lire la suite ...
  • Le titre, ample comme une nouvelle de Jim Harrison, est à l’image du beau film d’Andrew Dominik. Sombre, lyrique et efficace, languide et puissant, il est à la fois un regard sur la relation qu’un homme entretient avec lui-même et avec les (…) > Lire la suite ...
  • Un film de Nicolas Philibert c’est se trouver devant une fenêtre que l’on ouvre bien grand pour voir mieux et plus loin. Dans « Retour… » quatre dates : 1835 : Pierre Rivière tue à la serpe sa mère, sa sœur et son frère. 1971 : Michel (…) > Lire la suite ...
  • Sortait sur les écrans bruxellois, en début de ce printemps, « En la cama » un huis clos sensuel, filmé avec cœur et authenticité par l’agile caméra DV d’un jeune réalisateur chilien de 28 ans Matias Bize. De cette rencontre passagère entre un (…) > Lire la suite ...
  • Il y a des films pour adolescents, des films avec des adolescents et, ceux que nous préférons, des films qui initient une réflexion sur et autour des adolescents. C’est pourquoi « Control X », malgré des imperfections que l’indulgence incite à (…) > Lire la suite ...
  • Si vous ne connaissez pas Byouna, vous avez une bonne raison d’aller voir ce film de Nadir Moknèche, jeune cinéaste pour lequel elle avait déjà joué une bonne dans "Le harem de Madame Osmane" et dans "Vive Laldjérie" (*) une mère déchirée entre (…) > Lire la suite ...
  • Les complices de cinéma ne courent pas les rues. C’est pourquoi on est content de les retrouver, échappant ainsi à l’errance des rencontres cinématographiques éphémères. Le tandem Poirier/Lopez (*) fonctionne comme un vieux couple. Ils n’ont (…) > Lire la suite ...
  • Michael Moore est au documentaire, ce que Leslie Nielsen est au film de parodie : un bouffon. Ce qui (me) dérange chez Moore ce n’est pas son discours qui convoque la réflexion sur l’état déliquescent des principes fondateurs de la démocratie (…) > Lire la suite ...
  • Pour la deuxième fois - et une deuxième fois aussi réussie que la première – c’est du haut d’un tremplin de bassin de natation que Claude Miller choisit d’éprouver la force et la fragilité de ses héroïnes. De cette position expérimentée par la (…) > Lire la suite ...
  • « L’âge des ténèbres » ou l’engourdissement d’un cinéaste. Le dernier Denys Arcand n’est pas décevant dans l’absolu, il est décevant dans le relatif. Par comparaison avec ses deux films précédents (*), qui avec celui-ci, forment une trilogie sur (…) > Lire la suite ...
  • Voilà un titre (et un film) à la hauteur de l’époque schizo-barbare qui est la nôtre : « Flinguez les ». D’un côté on nous gave de marches pour la paix, de discours droit-de-l’hommistes, d’appels à la non violence et de l’autre le 7ème art (…) > Lire la suite ...
  • Il y a, grosso modo, deux genres de films. Ceux qui parlent de survie et ceux qui parlent de la vie sans nécessité de survie. Dans les premiers, aux nombreuses sous déclinaisons (*) les personnages s’agitent, s’échinent à trouver une solution à (…) > Lire la suite ...
  • Après avoir (re)vu à la Cinémathèque les trois courts-métrages (*) « Nouvelle-vague » qui révélèrent Jean-Claude Brialy et une fois rentrée chez soi allumer son HP pour y faire la recension de la plupart des films français contemporains c’est (…) > Lire la suite ...