octobre 2011

  • On pourrait croire que l’adaptation d’une bande dessinée belge par un réalisateur américain donnerait un résultat de tout ou rien. A notre grande surprise, le Tintin de Spielberg parvient à échapper à cette dichotomie et à se placer quelque part (…) > Lire la suite ...
  • Son sourire ravageur a illuminé La Mostra de Venise où il présentait son nouveau film,son quatrième film en tant que réalisateur car on le sait George Clooney a plusieurs casquettes – acteur, réalisateur, scénariste et producteur. « The Ides of (…) > Lire la suite ...
  • Que fait-on habituellement de bon matin ? Des câlins, un jogging, une crise d’angor, un petit déjeuner copieux ou pris sur le pouce ? Paul Wertret choisit, lui, avant de se rendre sur son lieu de travail, la BICF (*) de faire sa toilette. (…) > Lire la suite ...
  • Il y a chez Maïwenn une urgence, une respiration haletante, un tempérament qui selon l’humeur séduisent ou fatiguent (127 minutes de tempo allegrissimo c’est beaucoup …) Preuve en tout cas que cette jeune cinéaste de 35 ans ne laisse pas (…) > Lire la suite ...
  • Quand un enfant va manifestement mal, qui est malade ? Lui, sa mère, son entourage familial ? Kevin (*) a presque 18 ans. Sur le point d’être transféré dans une prison pour adulte, il avoue ne plus connaître les motifs qui l’ont amené à (…) > Lire la suite ...
  • Si « Ceci n’est pas un film » comment définir ces 75 minutes d’images, à la fois intrigantes dans leurs intentions, intéressantes par leur sincérité et parfois assommantes par leur monotonie répétitive et égo-centrée. Est-ce un défi, (…) > Lire la suite ...
  • "The son of no one" ou "The film of no one"" ? Y a-t-il un metteur en scène aux commandes de ce film qui donne l’ impression plutôt dérangeante de ne proposer , avec une constance acharnée, que du flou et du n’importe quoi. La seule chose (…) > Lire la suite ...
  • De l’arty au trash le chemin est épineux. « Dans l’art, il n’y a que le bizarre qui soit beau »- Baudelaire Une phrase à laquelle aime se raccrocher Irina Ionesco lorsqu’elle développe ses idées sur ce qui la guide dans son travail de (…) > Lire la suite ...
  • Les films de Bouli Lanners ce sont des injections, à parts égales, de tendresse et de mal-être. De drôlerie et de fragilité. Comme dans un jardin sauvage, ils sont faits un peu de tout, d’ herbes folles, de chiendents et de renoncules. Bouli (…) > Lire la suite ...
  • Il est toujours difficile d’adapter un livre connu de tous. Comment être inventif en racontant pour la énième fois l’histoire prémâchée, mâchée, remâchée et digérée des Trois Mousquetaires ? Paul W.S Anderson a trouvé la solution idéale : (…) > Lire la suite ...
  • C’était au temps du cinéma muet…du noir et blanc, l’âge d’or pour « The artist » alias George Valentin, (Jean Dujardin), acteur séduisant, élégant, au sourire ravageur. Il est au top de sa gloire, Hollywood est à ses pieds. G Valentin est (…) > Lire la suite ...
  • Le hasard fait bien les choses. Au moment où sort en librairie une remarquable monographie sur « Les avocats au cinéma » de Christian Guéry (**), l’Arenberg propose un thriller sombre et trépidant « Carancho ». A l’image de ses producteurs, un (…) > Lire la suite ...
  • Le skylab est resté dans nos mémoires comme la première station spatiale américaine lancée en 1973 et désintégrée quelques 6 ans plus tard en rentrant dans l’atmosphère. « Le skylab » de Julie Delpy restera dans nos mémoires comme un des films (…) > Lire la suite ...
  • Jane Mansfield croyait « aux entrées flamboyantes » (*), Lola Créton, la jeune héroïne de « Un amour… » a choisi d’être fantomatique. Quel dommage ! Que reste-t-il d’un film lorsqu’on en sort « insolationné » d’ennui par une histoire qui (…) > Lire la suite ...
  • Will Atenton, éditeur newyorkais chevronné, quitte emploi et métropole pour déménager avec sa famille, sa femme Libby et leurs deux enfants, dans une petite ville de Nouvelle Angleterre. Peu à peu, une ambiance pesante s’installe au sein des (…) > Lire la suite ...
  • « Et maintenant on va où ? » ?. Sûrement pas voir, en priorité, le dernier film de Madame Labaki qui réussit par un faisceau de faiblesses scénaristiques et scéniques à dynamiter l’humanisme de son questionnement - les femmes peuvent-elle, par (…) > Lire la suite ...
  • Que reste-t-il d’un film qui vous a laminé par son absence absolue de qualités narrative, formelle, interprétative ? Juste l’envie de ne pas vous souhaiter « Bienvenue » si vous y montez. (mca) > Lire la suite ...
  • Imaginez un cerf-volant aux couleurs hivernales, il se déplace lentement entre mer et usine ; oscillant mollement de mouvements répétitifs en déplacements erratiques, il ne semble poussé par aucun vent. "Attenberg" est comme ce cerf-volant, il (…) > Lire la suite ...