juillet 2007

  • Est-ce parce qu’on les a connus en " life" que tant de représentations de professeurs sur grand écran semblent souvent (toujours ?) too much ? Trop policée avec Glenn Ford dans « Blackboard jungle », trop lyrique avec Robin Williams dans « Dead (…) > Lire la suite ...
  • www ou le mystère des acronymes. Que se cache-t-il derrière cette suite d’initiales qu’Internet a élevées au rang de consonnes universelles ? ( www.whatawonderfulworld.com ) Un ensemble d’informations comme sur le Web ? La description d’une (…) > Lire la suite ...
  • « You have to kiss a lot of frogs to find a prince ». Ou encore la route qui mène à celui ou à celle dont on tombe amoureux n’est pas toujours une ligne droite. Lorsqu’elle est parsemée d’embûches ou de contre temps à répétition on peut même (…) > Lire la suite ...
  • Suivant son âge, le spectateur ne regarde pas le film avec le même intérêt. Enfant, il se fiche de l’ineptie du scénario - deux races d’extraterrestres déplacent leur guerre sur la Terre - parce que son attention sera ravie (au sens propre et (…) > Lire la suite ...
  • Voici une sortie programmée pour booster les entrées cinéma dans des salles souvent désertées, en cette période de l’année, pour la plage, la montagne ou la campagne. Deux jours avant la sortie américaine ( www.simpsonsmovie.com ) et 2 mois (…) > Lire la suite ...
  • « A bittersweet… est un intrigant oratorio. Qui se décline, comme les patronymes de ses acteurs, en trois dimensions : le tourmenté, l’implacable et le romantique. Le tourmenté façon Caravage : choisir un propos et l’éclairer dans sa face la (…) > Lire la suite ...
  • Il y a quelque chose chez Gabriel Range qui fait penser à Raymond Aron. Prendre une position intellectuelle c’est s’engager. Dans exactement 3 mois moins un jour, le 19 octobre 2007, le Président George W. Bush est assassiné, à Chicago, lors (…) > Lire la suite ...
  • Peut-on concevoir à Hong Kong un polar autre qu’urbain ? Aussi difficilement que d’imaginer Michael Mann, le producteur de la série télévisée « Deux flics à Miami » tourner ailleurs que dans les grandes villes américaines (*) ses policiers dans (…) > Lire la suite ...
  • Les rapports mère-fille sont une mine d’or pour les psychanalystes (*) et pour les cinéastes (**). Lulu est une jeune fille de 15 ans. Entre un père aimant mais souvent absent et une mère dépressive, elle vit une adolescence tiraillée entre (…) > Lire la suite ...
  • Comment allez-vous ? "Très bien, merci" répond celui qui a envie qu’on le laisse tranquille. Pourtant l’intranquillité voilà bien le sentiment qui se dégage de ce long métrage pour lequel trois raisons au moins donnent envie de remercier Madame (…) > Lire la suite ...
  • Les cinéastes - les meilleurs et les moins bons - imaginent un monde et le décrivent comme s’il était le monde réel. Les acteurs – les meilleurs et les moins bons - ont la mission de donner à ce monde imaginaire la densité qui lui permet de (…) > Lire la suite ...
  • William Eggleston (1939 Memphis/Tennesse /USA - toujours en vie et toujours en activité artistique). La preuve de sa vitalité et de son importance : deux films lui ont été consacrés la même année. L’un, « William Eggleston in the real world » (…) > Lire la suite ...
  • A l’instar de la question posée par Jean-Michel Frodon dans le numéro 618 des « Cahiers du cinéma » « Y a-t-il trop de films en salle ? », pourquoi ne pas s’interroger sur l’overdose de chroniques cinématographiques consacrées à des films dont (…) > Lire la suite ...
  • L’été dernier, dans le cadre de l’Ecran Total, cette magnifique « plage cinéma » proposée tous les ans par le cinéma Arenberg à Bruxelles (*), était distribué, en catégorie « Les inédits », de Philippe Faucon « La trahison ». Dans ce beau film, (…) > Lire la suite ...
  • Si le roman populaire se définit par le nombre de ses lecteurs, le film populaire par celui de ses entrées, le roman de gare se caractérise par ses histoires invraisemblables et son écriture dépourvue de style. Après avoir été, dans les années (…) > Lire la suite ...
  • Aie. Ouille. Pourquoi Diane Keaton a-t-elle accepté de jouer dans ce film (*) pour lequel même la qualification de daube est trop élogieuse ? Elle a vraisemblablement ses raisons que nous n’avons pas à connaître (angoisse de rester sans jouer, (…) > Lire la suite ...
  • Lorsque le Prince de Galles, le futur George IV quittait Londres pour Brighton, son intention était celle d’un luxueux villégiaturiste - comme en témoigne son exotique lieu de résidence « Le pavillon royal » - : se divertir. Dans les années (…) > Lire la suite ...
  • Autre temps, autre position. Il y a vingt ans, les fébrilités amoureuses de l’adolescence se déclinaient en position verticale. L’expression, à l’époque familière, en porte témoignage : « Et toi, tu marches avec qui ? ». En 2007 ces mêmes émois (…) > Lire la suite ...