mai 2006

  • Parmi la demi-douzaine de films nouveaux qui sortent chaque semaine, il y a des perles qui restent injustement trop peu valorisées alors qu’elles posent sur le monde qui est le nôtre un regard (im)pertinent. Justin est un adolescent de 16 ans (…) > Lire la suite ...
  • On n’a pas le vent en poupe quand on vit à Secondigliano, une des banlieues pauvres de Naples. Vicenzo a 18 ans et aucun avenir dans cette Italie du Sud gangrenée depuis si longtemps par une crise économique dont il semble qu’elle n’émergera (…) > Lire la suite ...
  • La peur de perdre son emploi légitime-t-elle d’accepter les abus de pouvoir d’un patron ? Le cinéma contemporain s’intéresse de plus en plus souvent à la vie dans l’entreprise pour en dénoncer la gangrène par de pernicieux mécanismes qui, sous (…) > Lire la suite ...
  • Dès son premier long métrage « Je suis un autarcique » (1976) Moretti a reconnu faire « du cinéma pour exorciser ses obsessions ». Parmi celles-ci sa détestation de Sylvio Berlusconi qui, déjà amorcée dans « Aprile » se poursuit dans « Le (…) > Lire la suite ...
  • Qu’il est intéressant le cinéma quand il crée la controverse. Et matière à controverse il y a puisque Sofia Coppola, de façon délibérée, a choisi de ne pas sacrifier aux lois de la reconstitution historique subordonnée au souci de la seule (…) > Lire la suite ...
  • Le cinéma est une manière de raconter ou de se raconter. Va-t-on assister, dans le 7ème art, au même phénomène que celui qui fait florès - avec un degré de qualité très inégal - en littérature à savoir le besoin pour le réalisateur de se (…) > Lire la suite ...
  • Pas facile de faire un film d’un livre écrit par un Bukowski dont le talent (et parfois le génie) était en permanence dynamisé par le bourbon. Bent Hamer s’en sort plutôt bien aidé par un Matt Dillon à la prestation épatante de vulnérabilité et (…) > Lire la suite ...
  • L’un des plaisirs offerts par le 7ème art est de tisser des liens entre des films, a priori très différents, mais qui présentent une même thématique déclinée autrement. Ainsi, à mes yeux, il existe un rapport entre Burt Munro (formidable (…) > Lire la suite ...
  • Film matière comme on pourrait le dire d’une toile de Bram Bogaert, « Los Muertos » kidnappe et subjugue. A l’inverse, il peut assoupir et rebuter celui qui n’y accroche pas. Film organique, aquatique, pulsionnel qui bat au rythme d’une promenade (…) > Lire la suite ...
  • L’amour, on le sait, donne des ailes. L’amour, et le cinéma après l’avoir suggéré dans « Je ne suis pas là pour être aimé » le ré-affirme avec une chaleureuse douceur, dans « Marilyn Hotchkiss », peut aussi donner envie de danser. « Un désir fou (…) > Lire la suite ...
  • Si elles étaient nées quelque part en Europe au XXIe siècle, elles auraient pu se pacser, se marier, adopter. Nées en Chine elles sont condamnées à la clandestinité, à la prison ou à la mort. Elles, ce sont deux jeunes filles qui vivent dans (…) > Lire la suite ...
  • L’un des plaisirs offerts par le 7ème art est de tisser des liens entre des films, a priori très différents, mais qui présentent une même thématique déclinée autrement. Ainsi, à mes yeux, il existe un rapport entre Burt Munro ( formidable (…) > Lire la suite ...
  • Une histoire qui commence doucement, presque sur la pointe des pieds. Hanna est ouvrière à la chaîne. Travail qui colle au plus près de sa personnalité renfermée, sourde (au sens propre et figuré) et adonnée autant à la routine professionnelle (…) > Lire la suite ...
  • Est-ce parce qu’il a porté sur Shakespeare un regard attentif et méditatif dans son « Looking for Richard » qu’Al Pacino est si convaincant dans le rôle de Shylock, ce juif usurier qui suscite autant de compassion que de réprobation ? L’époque (…) > Lire la suite ...