juin 2008

  • Nelson McCormick, réalisateur à succès du petit écran [1], choisit pour son premier long métrage de s’attaquer à une figure incontournable du cinéma d’horreur. Ce choix ne s’avère toutefois pas heureux au vu du résultat. Remake d’un classique (…) > Lire la suite ...
  • Ne vous fiez ni à la publicité qui présente "Skate..." comme un film d’action, ni à son affiche qui suggére un graphisme absent de la mise en scène. Il s’agit juste d’une histoire d’un ennui mortel racontée aussi laborieusement que péniblement (…) > Lire la suite ...
  • Les papas de cinéma sont souvent sympas. Lino Ventura dans « La boum », Vincent Elbaz dans « Tel père, telle fille » , Vincent Lindon dans « Mercredi, folle journée » Et maintenant Daniel Auteuil qui essaie de la jouer cool face à sa fille (…) > Lire la suite ...
  • Dans la vie, l’homéostasie conduit à l’harmonie. Il est donc normal que, si le magazine « Positif » du mois de juin 2008 consacre un dossier au « Sublime à l’écran », le cinéma soit assez généreux pour générer des films susceptibles de fournir un (…) > Lire la suite ...
  • Un film avec un super héros suffit-il à faire un super film ? Pas sûr. Les amateurs du genre y trouveront sans doute leur compte. Les autres feront leur compte et décideront de passer leur chemin. Après Spiderman, Dragonflyman. Un jeune (…) > Lire la suite ...
  • Elles sont trois. Elles travaillent pour une agence de détectives. Elles n’ont rien en commun avec les « Charlie’s Angels » (*), cette série télévisée qui connut ses heures de gloire à la fin des années 1970 en reconnaissant à la femme une (…) > Lire la suite ...
  • Si l’envie vous prend de rêver devant un conte de fée moderne et pétillant, « Penelope » va vous ravir. Il était une fois Christina Ricci incarnant une jeune femme de sang bleu affublée d’une malformation pour le moins disgracieuse : un nez de (…) > Lire la suite ...
  • Un film peut-il arrêter une guerre ? Une photo peut-elle changer le monde ? Bien sûr que non, mais l’un et l’autre peuvent ouvrir les yeux et les consciences sur ce qui se passe autour d’un conflit. C’est ce que tente le cinéma américain (…) > Lire la suite ...
  • Il y a des films qui ne suscitent aucun sentiment particulier. Ni joie ni amertume de les voir vus. Ce sont de films-absents. Qui n’apportent rien et n’enlèvent rien à la vision du monde qui était celle du spectateur avant leur projection. (…) > Lire la suite ...
  • Le premier « Inédit » de l’Ecran Total - ces 10 semaines qui courent du solstice d’été au premier jaunissement des feuilles et qui sont, avec leurs 8 films quotidiens, le plus enivrant des toboggans vers le plaisir combiné des yeux, du cœur et de (…) > Lire la suite ...
  • Après l’échec commercial de la première adaptation cinématographique de Hulk par Ang Lee, les studios Marvel confient à Louis Leterrier le soin de réaliser le deuxième opus de la série. Malheureusement, ce choix est plutôt regrettable. Tout le (…) > Lire la suite ...
  • Pour son premier long métrage, Lucia Cedron choisit d’évoquer un sujet qui la touche intimement, un morceau d’Histoire lié à son propre vécu : la dictature qui sévit en Argentine de 1976 à 1983 [1]. Elle ne réalise pas pour autant un film (…) > Lire la suite ...
  • Grace est un prénom. Celui du personnage qui par son absence est la clé de voûte de cette première réalisation d’un jeune cinéaste qui avait coscénarisé le « Lonesome Jim » de Steve Buscemi. Grace est aussi une qualité faite d’harmonie et de (…) > Lire la suite ...
  • Que dire de « Made of Honor » ? Sorte de version inversée du « Mariage de mon meilleur ami », la fin heureuse édulcorée en plus, ce film est ce que l’on peut appeler le degré zéro de la comédie romantique. D’une mièvrerie à toute épreuve, c’est (…) > Lire la suite ...
  • « Forgetting… » est au film romantique ce que l’écume est à la mer ou l’aspartame au sucre. Commis, plus que mis en scène, par Nicholas Stoller dont c’est la première réalisation, après avoir été coscénariste de « Fun with Dick and Jane » avec (…) > Lire la suite ...
  • Après avoir raconté l’histoire d’un homme s’expatriant avec toute sa famille à l’autre bout du monde [1] et avoir tenté de montrer comment on peut traverser les murs dans l’univers clos de l’hôpital Saint Pierre [2] , Anne Lévy-Morelle nous (…) > Lire la suite ...
  • En ce mois de juin, la chaîne télévisée et cryptée « Ciné Cinéma Classic » (CCC) propose en diffusion multipliée un des chefs d’oeuvre de Godard ( JLG ) « Le mépris ». Suivi d’un documentaire très intéressant qui éclaire, comme l’indique son (…) > Lire la suite ...
  • Il y a films pour lesquels on a un « buntje ». Avec lesquels on tombe en immédiate sympathie. Non pas qu’ils soient meilleurs que beaucoup d’autres mais simplement parce qu’il s’en dégage une énergie, une faconde, un goût de (et pour) la vie (…) > Lire la suite ...
  • Il n’a pas que les miroirs qui peuvent être traversés. Et l’Angleterre n’a pas le monopole des écrivains qui savent écrire pour la jeunesse en se jouant de l’idée même de paradoxe. Le cinéaste Hosada s’est inspiré d’un roman écrit il y a plus (…) > Lire la suite ...
  • La détresse comme le bonheur sont des sentiments que certains choisissent de clamer. D’autres de susurrer. Le haiku versus l’élégie, Becket contre Hugo, Schubert et Wagner. Tarentino et Lissandro. Il n’y a pas, dans ces couples d’opposés, de (…) > Lire la suite ...
  • Avec ce sixième long métrage, Arnaud Desplechin poursuit l’autopsie de la cellule familiale entreprise dans « La vie des morts »[1] et « Rois et reine »[2]. Examinant cette fois la réunion d’une famille pour un dîner de Noël, le réalisateur met (…) > Lire la suite ...
  • Il y a mille et une façons de faire un film de guerre. Elles ne sont jamais futiles mais elles ont rarement proposé, au spectateur, autant de réflexions sur les à-côtés d’un conflit que l’actuelle guerre en Irak. Non pas que le cinéma n’ait (…) > Lire la suite ...
  • A la vue de la bande annonce du nouveau film de Shyamalan, on s’attendait à un film palpitant. On imaginait en salivant ce genre de réalisation qui tient en haleine du début à la fin, de laquelle on sort soulagé, mais en proie à des idées (…) > Lire la suite ...
  • La mémoire d’un carassius auratus, plus connu hors des sentiers de la nomenclature linéenne, sous le nom de cyprin ou poisson rouge varie entre 3 secondes et 7 minutes. Soit environ et en comptant large 2.783 minutes (ou « 48 heures ») de plus (…) > Lire la suite ...
  • Quand le film fantastique se décline avec raffinement ça donne « The dorm ». Et ca donne des frissons. Des frissons plus que de la peur. Quelque chose d’éthéré, de vaste, d’insaisissable qui touche à l’indicible des moments clefs de la vie. (…) > Lire la suite ...
  • Le cinéma mène à tout. Même à donner envie de relire le linguiste Jakobson. Juste pour avoir une confirmation que le triangle formé par les consonnes BDP est bien de l’ordre de deux labiales pour une dentale. Pourquoi BDP ? Pour B comme (…) > Lire la suite ...
  • Le cinéma, comme l’inconscient de Freud, ne connaît pas les repères du temps. Et c’est très bien ainsi parce que ce grand brassage temporel permet à des tranches d’âges et d’expériences contrastées de se rencontrer et d’œuvrer ensemble. Ainsi « (…) > Lire la suite ...
  • Les titres sont aux films de bien étranges choses. Ils leur sont indispensables parce sans eux pas d’identification, référencement ou recommandation possibles. Et en même temps, ils en sont la partie la plus volatile. Celle qu’on oublie plus (…) > Lire la suite ...
  • Il y a certains jours où l’on est lassé de cette vie compliquée où rien ne s’arrange jamais comme on l’a prévu. Dans ces périodes de fatigue existentielle, la meilleure chose à faire est d’aller voir un film divertissant et apaisant. « Dan in (…) > Lire la suite ...
  • Le mercredi, jour de sortie des films, ressemble à une classe de lycée. Il y a le bon élève, celui qui surprend par son engagement personnel, celui qui aurait pu faire mieux, le bon copain, le cancre, etc … Pour cette semaine ainsi et dans (…) > Lire la suite ...
  • « Eldorado », cela sonne comme une invitation au voyage, une promesse de merveilleux, la découverte d’un ailleurs. Si le second long métrage de Bouli Lanners a la forme d’un road movie, il ne nous mène pas exactement à l’exploration d’un (…) > Lire la suite ...
  • Il n’y a pas que chez Ibsen, Strindberg et Pirandello que les cœurs crient famine. Bien éloigné de la facilité roborative des romans à succès d’Anna Gavalda ou Katherine Pancol (*), le premier long métrage des frères Ulloa (**), adapté d’un (…) > Lire la suite ...
  • Quand la vie d’une jeune femme croise l’Histoire d’un pays, parce qu’elle est la compagne d’un opposant au régime mis en place par Pinochet après l’élimination de Salvador Allende, c’est l’occasion de retracer quelques années (1970-1974) d’une (…) > Lire la suite ...
  • Qu’a cherché à faire Olivier Assayas avec ce nouveau film ? On le connaît réalisateur éclectique, autant admiratif du cinéma asiatique [1], nostalgique de la nouvelle vague [2] que préoccupé de l’histoire artistique de son propre pays [3]. Mais (…) > Lire la suite ...
  • 31 mai 1998 - 4 juin 2008. Deux dates, celle de la première diffusion sur petit écran d’un feuilleton destiné à devenir culte et celle de la sortie sur grand écran d’un film qui en est à la fois la continuation et la crucifixion. Une épitaphe (…) > Lire la suite ...