novembre 2006

  • « Cœurs » ne serait-il pas, dans l’œuvre de Resnais, une sorte de point d’orgue cristallisant avec une impeccable rigueur formelle, l’un des thèmes majeurs de sa création : la solitude générée par l’incapacité d’aimer ? Le cinéma est un (…) > Lire la suite ...
  • Welcome home. Après un interlude plutôt musclé (« Total Recall ») et sexy (« Showgirls ») Verhoeven est retour chez lui aux Pays Bas pour y traiter un épisode particulièrement sombre de l’occupation de son pays par les Allemands en 1944. (…) > Lire la suite ...
  • Il peut arriver, le temps d’un film, d’éprouver vis-à-vis de ses personnages un élan d’affection sincère. Il peut même arriver que cette sympathie se prolonge après la vision vous rendant à la fois attendri, content et enchanté d’avoir rencontré (…) > Lire la suite ...
  • Existe-t-il des limites imaginatives à l’espace intérieur propre à chacun et plus particulièrement lorsqu’il est à ce moment charnière de sa croissance pubertaire qui le pousse dans un monde où les fées rencontrent les faunes ? Cette question, (…) > Lire la suite ...
  • Depuis 7 ans on attendait le retour de James Bond. Un retour c’est vrai et un réel retour aux sources avec ce premier roman de Ian Fleming « Casino Royale « dont c’est ici la seconde adaptation au cinéma. C’est Martin Campbell qui est aux (…) > Lire la suite ...
  • Tony Gatlif est parfaitement capable de mettre en relation des récits fragmentaires et désorganisés et d’introduire la logique d’une cohérence dans ce qui pourrait aisément flirter avec l’arbitraire, la démesure ou le déraisonnable. Mais encore (…) > Lire la suite ...
  • Le faux pour mieux souligner le vrai ou quand la souffrance peut avoir besoin, pour se dire, de tresser la réalité à la fiction. Comme si elle puisait dans ce nouage le cadre idéal d’une re-création permettant à une vérité sombre d’émerger. En (…) > Lire la suite ...
  • Ce film est à l’image de son réalisateur : chaleureux, brouillon, tendre, imprécis et lyrique. Pas de fil conducteur mais une succession d’élans, de coups de cœur, de souvenirs égrenés avec une désarmante sincérité. Le monde vu par les yeux (…) > Lire la suite ...
  • Alejandro Gonzales Inarritu est certainement l’un des réalisateurs les plus doués ,les plus créatifs de ces dernières années, de sa génération. On lui doit déjà « Amours chiennes « et « 21 grammes" tous deux déjà un choc et puis aujourd’hui le (…) > Lire la suite ...
  • Quelle dérision contenue dans ce titre ! Chez les Tellier rien ne va. Contrairement à la maison du même nom célébrée par Maupassant et Renoir pour sa générosité et sa chaleur. Dans un pavillon de banlieue, proprette et standardisée - rien à voir (…) > Lire la suite ...
  • La relation des Américains au sexe a-t-elle, en trente cinq ans, réellement changé ? En 1971 la sortie du « Ce plaisir qu’on dit charnel » de Mike Nichols soulignait à quel point cette relation était complexe et rigide. En 2006 ce même rapport (…) > Lire la suite ...
  • Si l’une des facettes du talent est de savoir, avec cohérence, allier deux modes d’expression différents - la douceur et la violence - Kim Stuart (*) qui signe avec « Anche… » sa première réalisation, en est largement pourvu. Un fils ne rêve (…) > Lire la suite ...
  • On peut aller au cinéma, comme on va au théâtre, juste pour voir des acteurs. C’est le côté proche du cannibale du cinéphile : absorber l’autre par la vue. Louis Ruinard (patronyme auquel l’excellent Jean Rochefort réussit à donner une vie (…) > Lire la suite ...
  • -Pour tous ceux qui raffolent des thrillers aux relents glauques, des sordides secrets de familles, des amours clandestines .... -Pour tous ceux qui apprécient la virtuosité technique, pur exercice de style, du réalisateur Brian De Palma .. (…) > Lire la suite ...
  • Aussi décapant que Charlie Hebdo, grotesque qu’Hara-Kiri ou inconvenant que feu le Professeur Choron, « Borat » enchantera ceux qui ne craignent pas le scatologique, le débridé, le sans limite et qui savent que derrière le tout et le n’importe (…) > Lire la suite ...
  • Rire ça fait du bien, ça donne la pêche et ça rend heureux. Joachim Lafosse (*) vous le confirmera, il en connaît un bout sur le sujet… Film sans prétention, « Prête-moi.. » réussit à décoincer les zygomatiques sans recourir à la grivoiserie, à (…) > Lire la suite ...
  • Woody a quelque chose en commun avec le pic-vert au même prénom (Woody Woodpecker) : on est content de le retrouver même si on a une impression de déjà vu. Sur le fond reprise de thèmes déjà abordés : l’enquête menée de façon maladroite mais (…) > Lire la suite ...