décembre 2005

  • Yuri Orlov a tout d’un être humain. Il est marié, il a un enfant et il entretient avec ses parents et son frère d’amicales relations. Et pourtant très vite le spectateur se demande ce qu’il a encore d’humain tant son travail - il est (…) > Lire la suite ...
  • Les livres de John Le Carré ont un point commun : celui de considérer qu’on a tort d’avoir une vision idéale du monde. Il n’est donc pas étonnant que Fernando Meirelles, le réalisateur de l’ultra réaliste « Cité de Dieu » ait été inspiré par la (…) > Lire la suite ...
  • Un film peut-il, comme une activité, être qualifié de primaire ou de secondaire ? Primaire si son contenu narratif et son agencement esthétique suffisent à capter l’attention du spectateur. Secondaire si ce dernier, après avoir échoué dans sa (…) > Lire la suite ...
  • Be with moi, sois avec moi, est le désir de toute personne amoureuse. Eric Khoo choisit de placer ce désir au cœur de 3 histoires qui, chacune, connaîtra un destin contrarié. Le ton de ces récits qui évoquent la fragilité des relations humaines (…) > Lire la suite ...
  • Voilà un titre bien énigmatique qui évoque le bonheur de l’autre alors que le film qu’il désigne suinte de tristesse et de solitude. Dans un petit village des Flandres, un enfant meurt sur le bord de la route abandonné par un chauffard. Si ce (…) > Lire la suite ...
  • A quoi peut-on mesurer la valeur d’un film ? A l’aune du bénéfice qu’il génère ? Auquel cas « Just like heaven » vaut au moins *** A sa conformité au roman de Marc Levy dont il s’inspire ? Auquel cas « Et si c’était vrai » en raison de ses (…) > Lire la suite ...
  • Que voilà un film, qui à partir d’une anecdote simple, ouvre d’intéressantes pistes de réflexions. Un sociétaire de la Comédie Française se retrouve en 1770, sur une île perdue du Pacifique, seul rescapé d’un naufrage. Lui qui a toujours vécu (…) > Lire la suite ...
  • Voilà un film aussi singulier qu’attachant. Chorégraphié plus que cadré, bruité plus que dialogué, il est pétri d’ouvertures référentielles à Jacques Tati (pour la vigueur inventive ), à Jean-Daniel Pollet (pour la gestuelle tragi-comique) et à (…) > Lire la suite ...
  • La transposition des « Liaisons dangereuses » dans la Corée de la deuxième moitié du XIXs enlève-t-elle à l’œuvre le machiavélisme de son intrigue ? La réponse tient en trois lettres radicales : n o n . Et pourtant cette intrigue est retorse (…) > Lire la suite ...
  • Je l’aime bien Kirikou. « Il est petit mais c’est mon ami. Il n’est pas grand mais il est vaillant ». Toute la personnalité, faite de charisme et de courage, de ce petit bonhomme noir haut comme 3 pommes est contenu dans ces vers de la chanson (…) > Lire la suite ...